dimanche 29 avril 2007

Il fait très beau et très chaud (contre-pétrie Belge)

J’arrive à Bruxelles sur l’heure du déjeuner, je vais enfin connaître le goût de vraies frites, Belges. Après avoir englouti la “petite” portion de frite j’ai les yeux qui se ferment, c’est l’heure de la sieste. Pas de problème l’auberge de jeunesse Jacquets Brel n’est pas bien loin, la chambre est vide, mes colocataires ne sont pas encore arrivé, la fenêtre donne sur la cour intérieure où personne n’ose affronter le soleil, la sieste va être bonne…

Les frites et la sieste mon donné les forces, pour partir à la découverte de la ville.
Je m’attendais à une mégapole, je trouve une charmante “petite” ville. J’ai passé mon après-midi à flâner dans le centre, à pied.

Je me suis aventuré, un peu timidement, entre deux maisons, au cœur de la ville, à deux pas de la Grand-Place. J’avais repéré un peu de verdure, et ben, c’était bien ça : une cour intérieure ou les murs était envahis par le lierre, et ou quelques salons de jardin permettaient de se poser un instant, dans une ambiance calme et silencieuse, assez inattendue.


J’en profite pour passer un petit coup de fil à maman, pour prévenir que mon voyage a commencé. Elle me dit qu’il faut que je passe dans la rue des Bouchers pour trouver un bon petit resto. Cela n’a pas était bien compliqué à trouver, il m’a suffi de continuer l’exploration pour sortir sur une rue très bruyante, ou les restaurants sont côte à côte, les tables au milieu de la rue, et le passage pour les piétons est très difficile.
En fait, il s’agissait d’un très joli Estaminet, le Théâtre Musée Toone, qui avait son entrée principale au fond d’un passage étroit, dans le quartier des Bouchers, et une petite cour intérieure bien cachée donnant sur un autre quartier, par un passage encore plus étroit. À l’intérieur, il y avait un dédale de petites pièces, dont l’estaminet lui-même, un mini-théâtre, genre Guignol parisien, avec un système de gradins escamotable très particulier, tout en bois et magnifique.

À deux pas du Toone, au fond d’une impasse (ou l’on ne va pas par hasard), j’ai rencontré une demoiselle pas pudique du tout. J’avais entendu parler de son frère, alors je me suis mis à sa recherche… Des indices mais pas de Manneken Pis !





je suis déçu, mais ce n’est pas bien grave, je vais me consoler avec ce que j’ai trouvé.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Cool les frites
Aujourd'hui c'est chichon, c'est moins bon. Bonne route.